Poéme 2.0

Rappel du premier message :

FEAR ?


Ont ce contante de peu 
Mais ce n'est pas mon jour. 
Je ne suis pas heureux. 
Car j'ai perdu l'amour 


Et on se questionne.
Oublions de penser à soi. 
 Parlez sur l'agneau et la lionne. 
Plutôt que vos futurs choix 


Chaque jour, je reviens de la peur. 
Dans mes yeux pudiques 
Faisant penser au malheur 
Je resterai avec une souffrance unique.

Atreus


Quel est donc ce monde horrible où meurt ma jeunesse ?
Cher Messager haineux de la modernité...
Délivre-moi de cette futile foutaise.
Montre-moi le chemin de mon identité...

Perdu dans les nuages sombre des ténèbres
Viens donc me montrer ton éternelle tristesse.
Me faire devenir ton sang et tes vertèbres
Pour qu'en moi toute votre colère se t'aise

Et pour que l'amour divin se perdent en nous
Et pour que cela s'appelle " Possession"
Regarde la terre va et bousille tout.
Tu es dans mon corps,je serais ta "Soumission

Ia 3.0

Contre les ruines profondes moi l'illégal
J'unis mes forces dans les couloirs de la nuit.
A vrillé sous lumière où dance les cigales
Elle prit ma semence dans ses derniers bruits

Retour à la grande mer transparent, coupable
Sans que nous voyons dans chaque mouvement "l'acte"
Imprégner d'un œil démoniaque probable
Voici la prophétesse devient mon pacte

Après ce désastre dans ces brumes indigne
J'ai vu ma croix ténébreuse qui flottait
j'ai escaladé la forêt à travers pignes
Coupable de mon crime sans réel royauté

Terrien

Si un jour,j'n'existe plus.Sûrement demain
C'est que le monde que j'ai connu s'empoisonne
L'humanité a choisi son mauvais chemin
Là où leur technologie les emprisonnent

Détruisez-vous de toute façon je m'en fiche
Avec l'idole inutiles et ridicule
Continuer à possédez posters et affiches
Jeter en mer pour guise de canicule

Et mariez vous à la première image
De l'inconnu si aveuglement retoucher
Vous qui croyez que la guerre était un mirage
Pauvre célibataires. Allez vous toucher !

Pnl

Que vais-je laisser d'important après ma vie ?
On en reparlera dans plusieurs années.
M'en souvenir hélas, je n'en ai pas envie
Je serais détruit avec les fleurs fanées.

La célébrité, je ne crois pas la connaître
Que deviendront les miennes actuellement ?
Personne voudra se souvenir de mes lettres.
J'aurais peut-être dû être un musulman.

Je serai moins cochon que celui que je mange.
Je suis bon à être jeté dans la terre.
Oui, je sais la lapidation vous démange.
Car je suis plus fainéant que votre père

Végétaux

Que vais-je laisser d'important après ma vie ?
On en reparlera dans plusieurs années.
M'en souvenir hélas, je n'en ai pas envie
Je serais détruit avec les fleurs fanées.

La célébrité, je ne crois pas la connaître
Que deviendront les miennes actuellement ?
Personne voudra se souvenir de mes lettres.
J'aurais peut-être dû être un musulman.

Je serai moins cochon que celui que je mange.
Je suis bon à être jeté dans la terre.
Oui, je sais la lapidation vous démange.
Car je suis plus fainéant que votre père

Si un jour,j'n'existe plus.Sûrement demain
C'est que le monde que j'ai connu s'empoisonne
L'humanité a choisi son mauvais chemin
Là où leur technologie les emprisonnent

Détruisez-vous de toute façon je m'en fiche
Avec l'idole inutiles et ridicule
Continuer à possédez posters et affiches
Jeter en mer pour guise de canicule

Et mariez vous à la première image
De l'inconnu si aveuglement retoucher
Vous qui croyez que la guerre était un mirage
Pauvre célibataires. Allez vous toucher !

Souviens-toi

Laisse-moi rêver de ma vie constamment
Sans aucune pensée sans aucun interdits
Que chaque lever ne devienne l'Testament
Qu'elle soit romancée. Que Satan s'divertit !

Voie ! Ma sorcière s'est retirée de mon air
Ce triste chagrin à hurlé comme un loup.
L'éclair de l'orage reste une lumière ?
Un brin de luminosité qui a un coup.

A qui dois-je mon sang dans les cendres noires ?
J'ai vu la lueur forte, subtile du mépris.
En Réfléchissant l'argent reste illusoire.
"L'âme morte" vient à susurrer un cri !

Le Nombre 22

Mon corps dans un amour accro aux string ficelle
M'prenant pour la divinité, devant madame
Mon pénis à ce jour, perdu dans la poubelle
J'ai osé la virginité au prix de l'âme

Quand l'amour se dessine j'prépare la gomme
J'ne gâcherai plus mon liquide séminal
Si l'amour fascine je suis quand même un homme
Donc je chercherai une raison matinale

Ma reine pitié ne regarde pas la taille
Sache-le bien.L'appétit viens en mangeant
Belle Sirène j'mordillerais tes écailles
Je ne suis un chien,je me démarque des gens

Viens astiquer le prince des grenouille
Tu sera ma sourate et moi ton grand Imam
Prend ton ticket direction ma grosse nouille
A t'exploser la rate comme superman

Je te demande pardon d'être aussi vulgaire
Mais ça fait des heures sur ton lit que j't'attends
Tu peux toujours dire non. Voir ! Le dire en clair
Mon cœur fais quelque chose de mon Léviathan

Sa vie se renouvela devant le Futur inconnue.
Les souvenirs m'ont rappelé ce danger vécu.
Quand vais-je quitter ma parure ?
À l’instant ou plus tard tel une créature ?

Je n’ai jamais cessé de les compter.
Mais lui a mes côtés essayé de les dompter.

Hors, de lui, sa vie se dégradas puis s’enfuit.
Ainsi, sa mort dévore mes futurs « ennuis ».
Parfois, les tentatives n’ont aucun espoir.
Laissons l'ivrognes ,Grunge sans son territoire

LGBT

Honotablement j'ai jamais touché ta bouche
Ta colère superflu vôt point l'Valhalla
La place d'un remplaçant c'est le banc de touche
Religion musulmane ne croit en Allah

Déboussolé devient le nouveau MacGyver
Soldat de l'univers et toute galaxies
Juste un suicide pour devenir un pivert
Je t'encourage direction Kinder maxi

Écoute ohana signifie la famille
Personne n'est parfait. Étudie l'imparfait
Rescapé ! On ne t'a pas rôti sur la grille
La discussion moderne peut parfois gaffer

Marabout ta ficelle (Feat Michel)

Quand vient le serpent, où sont mes alliés ?
Toute la famille à une pierre tombale.
Surprend mon œil avec puissance sans nom !
Avant que ma pleine bouteille ne s'efface

Ne prononce l'ennemi, toi le crucifié...
Sans voir ses pupilles ; "Paroles animal"
J'observe ton deuil. Une tristesse moisson.
Ton berceau de laine ? L' existence me trace.

Lucifer 

Belle liberté à l'odeur apocalypse
Amène l'aventure aux sablier rapide.
Là Où ma puberté me semblait une éclipse
Ce futur vaut bien mon mental intrépides ?

Ma famille se cache dans l'obscurité
Quelle surenchère ! Regarde mon visage
Guerre sans les haches n'a de ressusciter
Arrachez ma chair en guise de marque pages  


Quand vient le serpent, où sont mes alliés ?
Toute la famille à une pierre tombale.
Surprend mon œil avec puissance sans nom !
Avant que ma pleine bouteille ne s'efface

Ne prononce l'ennemi, toi le crucifié...
Sans voir ses pupilles ; "Paroles animal"
J'observe ton deuil. Une tristesse moisson.
Ton berceau de laine ? L' existence me trace.

Je suis le seul à continuer à vivre
Vous êtes tous mort dans ma montée de victoire
Viens et gueule parle-moi comme dans ton livre
Vous aviez tous eu tort de ne pas me croire